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Les backstage de la Digital Law Moot Court

  • Photo du rédacteur: La Rédaction
    La Rédaction
  • 24 janv. 2020
  • 2 min de lecture

Le Master 2 DAST, ce n’est pas seulement des cours englobant l’ensemble du domaine spatial et des télécommunications ou des opportunités professionnelles passionnantes. Le Master 2 DAST, c’est aussi la réalisation de nombreux projets professionnels partagés entre l’ensemble des étudiants tels que la Space Law Moot Court se tenant à Vienne, le projet Numérique Sans Frontières en Afrique ou bien encore la simulation de l’organisation de l’aviation civile internationale à Montréal.


Aujourd’hui je vais vous parler du second projet auquel j’ai la chance de participer avec deux de mes camarades: L’organisation de la Digital Law Moot Court dont nous venons tout juste d’ouvrir les inscriptions.



Samuel Mamou, Benoît Thibault et moi-même sommes l’équipe de choc devant organiser ce concours européen de plaidoirie portant sur les problématiques juridiques en lien avec le numérique créé en 2015 par le DAST en partenariat avec l’IDEST (Institut du Droit de l’Espace et des Télécommunications).


Durant mon parcours universitaire, j’ai participé à de nombreux concours juridiques mais je n’avais encore aucune idée de l’ensemble des choses auxquelles il fallait prêter attention lorsque l’on organise un Moot Court. Bien que nous soyons étudiants du Master, nous avons réellement toute latitude concernant l’organisation de l’ensemble des aspects du concours, de la communication à travers la réalisation des visuels, de la prise de contact de l’ensemble des partenaires et sponsors en passant bien sûr par la réalisation du sujet de la digital !


Le plus important dans un concours de plaidoirie est bien entendu son sujet et cela commence par le difficile choix d’un thème. Devrions nous privilégier un thème d’actualité bouillonnant qui sera très attrayant mais dont le contenu de la plaidoirie risque de virer à la dissertation ? Ou bien un sujet dont le contenu et les développements seront plus propice à un réel développement juridique et réaliste mais avec un thème moins « catchy » ? Notre choix s’est finalement porté vers les fake news qui nous pensons combine les deux.


Après avoir défini le sujet, il convient de débuter la rédaction avec une problématique des plus importantes : dans un concours de plaidoirie, il y a nécessairement une équipe étudiante défenderesse et l’autre requérante, il est dès lors primordial de trouver un équilibre dans le sujet afin que chaque groupe puisse disposer d’un nombre à peu près équivalent d’arguments juridiques. En effet, dans ce type de concours portant sur le numérique, il y aura grossièrement une partie défendant les libertés individuelles et l’autre justifiant leurs atteintes, et il est bien plus aisé pour nous de trouver des arguments les défendant.


Bien entendu l’organisation d’un tel concours de plus en plus reconnu dans les milieux professionnels est loin de se résumer aux quelques points évoqués ci-dessus mais est un travail d’équipe non seulement entre nous mais avec certains membres du corps professoral ainsi qu’avec les anciens étudiants l’ayant organisé les années précédentes.


Pour finir cette courte présentation de l’organisation de la Digital Law Moot Court, j’invite l’ensemble des étudiants (encore plus ceux intéressés par une admission au DAST) à se lancer dans l’aventure et à s’inscrire au plus vite ici : https://digitallawmootcourt.net/



Pierre BOURGEAT

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